Pour réduire les dépenses de l’achat d’un logement, le futur acquéreur doit trouver des sources de financement autres que les prêts bancaires. Voici les aides qu’il peut prétendre pour payer moins des coûts réduits.
Souscrire un prêt familial
Emprunter auprès de sa famille est légal et coûte moins cher. Toutefois, il doit être prouvé au moins par un acte sous seing privé (signé par les parties en cause). Il doit également comporter un taux d’intérêt. Sans intérêts à payer, le prêt familial peut être assimilé à une donation déguisée, ce qui sera sanctionnée par la loi. En règle générale, le taux de type d’emprunt ne dépasse pas le 1%.
Contracter à l’avance un prêt épargne logement (PEL)
Le PEL est très avantageux pour l’acquéreur. Au lieu de payer des intérêts à la banque quand il emprunte une somme, c’est lui qui gagne un intérêt de 1% sur son épargne. Les intérêts accumulés et le capital constitué serviront ensuite d’apport personnel à l’acheteur. Si cette somme ne suffit pas, il a droit à un prêt habitat de 92 000 € et un éventuel prime d’état de 1 525 €. Le PEL est donc un moyen le plus sur d’obtenir un crédit immobilier.
Demander un PTZ
Grâce à la politique de l’accès au logement, un primo-accédant est éligible au PTZ. Ce prêt à 0 intérêt l’aide à financer une partie du prix d’acquisition de la maison ou l’appartement. Il doit toutefois utiliser le bien en tant que résidence principale pendant les deux années qui suivent son acquisition. Le Prêt à taux zéro est un prêt immobilier gratuit destiné à aider les primo-accédants à financer l’achat de sa résidence principale.
Celui qui pour la première fois va être le propriétaire de sa résidence principale bénéficie d’un crédit jusqu’à 40 % du prix du logement. L’emprunteur peut différer le remboursement du prêt de cinq jusqu’à 15 ans après son obtention selon ses ressources. Par la suite, il fait le remboursement par versement d’une mensualité constante pendant dix, douze ou quinze ans.
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